Qui aime bien, châtie bien. Vu le nombre de fois où j'ai exposé ici abus et erreurs de langage, vous déduisez que je vous apprécie beaucoup. Non contente de polluer l'atmosphère la bagnole altère aussi le champ lexical du vélo : je ne compte plus les fois où on m'a parlé d'embrayages, de boites de vitesses, et autres volants. L'analogie semble néanmoins se tarir. Heureusement, comme vous allez le constater, un autre secteur économique inattendu cherche à s'immiscer dans mon travail quotidien.
Un cycliste me désigne son pédalier qui brinquebale lamentablement, les roulements ayant pris du jeu :
-Je crois qu'il y a du "jus" dans mon pédalier !
Désormais, il me faudra donc également lutter contre le secteur de la restauration qui prend mon atelier pour une annexe de ses cuisines. Purée, je suis attaqué de toutes parts (de gâteaux).
2 commentaires:
Du jus de route, sans doute...
Jus de main, jus de vilain.
Et tu pourras juste mettre un peu d'huile de coude sur la chaine ? Elle ne coupe pas très bien les vitesses de la lumière.
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