samedi 7 octobre 2017

Divin Devon


Je crois avoir déjà, par le passé, glissé un poème de John Helston. En voici un autre extrait de Poèmes d'un Cycliste qui me donne envie d'embarquer mon vélo dans le premier ferry avant que la poussière ne devienne boue.


Les chemins du Devon

Au-dessus des collines du Devon l'ouest coloré est beau.
Le soleil couchant me rejoint sur les collines, ses oripeaux déployés.
Et il y a une splendeur dans ce pays que j'aperçois à peine,
Qui gagne mes sens depuis l'extrémité doré du monde.
D'où vient-elle, cette Beauté sentie au cœur de l'homme,
Qui fait de son sang l'écho de choses plus que mortelles,
Et la poussière anglaise sur les chemins du soir sous sa roue de vélo
Le sentier vers la côte mythique où chante l'eau-sirène.

Extrait de The Rhymes of a Cyclist, traduction de l'anglais par Edward Nye

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